Nouvelle-Zélande

18 jours, 2 îles, 1 road-trip, des amis d’enfance et des paysages grandioses, tels furent les clefs de ce voyage littéralement à l’autre bout du monde. Alix retrouve ce pays après 13 ans d’absence tandis que Yannick le découvre. Quelques surprises et rebondissements ont toutefois ponctué la dernière étape du tour du monde…

Informations

Capitale : Administrative : Wellington ; Economique : Auckland

Langues officielles : Anglais, Maori

Superficie totale : 268 680 km² (2,5 fois plus petit que la France)

Population totale : 4 597 000 habitants

Devise : Dollar néo-zélandais (1 € = 1,6 NZD)

Plus de moutons que d’habitants !

C’est peu de le dire, en Nouvelle-Zélande, la nature est maîtresse ! En effet, le pays est très faiblement peuplé.  Les néo-zélandais (qui se surnomment les « kiwis ») s’amusent ainsi à dire qu’il y a 6 moutons par habitant dans leur pays ! Par exemple, il y a plus d’habitants à Auckland (situé dans l’île du nord) que dans toute l’île du sud réunie.

Mais qu’avons-nous fait en Nouvelle-Zélande?

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Nouvelle-Zélande

 

Auckland

Fraîchement arrivés de Bali, nous sommes accueillis à Auckland par Cyrille, un ami belge rencontré en Thaïlande. Après son séjour en Asie, il est ici pour se perfectionner en anglais pendant quelques mois. Nous logeons dans l’une des adresses les moins chères de la ville et pourtant les tarifs nous paraissent déjà prohibitifs (surtout après avoir passé quelques mois en Asie) : il va falloir dégoter les bons plans pour rester dans le budget en Nouvelle-Zélande !

Astuce : Les hôtels et même les auberges de jeunesse sont très chers en Nouvelle-Zélande. Si vous souhaitez une chambre privée, les meilleurs prix sont sur AirbNb.

Cyrille nous fait une visite guidée de la ville. On commence par le front de mer, ses nombreux bars et restaurants ainsi que le port, qui est tellement propre que les gens se baignent dedans ! Nous retournons ensuite au centre-ville pour finir la soirée. C’est vendredi soir et les rues sont animées.

Palmerston North

Le lendemain, nous partons de bonne heure pour traverser l’île du nord en bus et rejoindre Palmerston North. En effet, nous souhaitons rejoindre Megan, une ancienne correspondante d’Alix de l’époque du lycée qui est depuis devenue une amie. Quel plaisir de se retrouver après de longues années sans se voir! D’ailleurs, nous avons beaucoup de chance : Megan nous prête son van et nous donne les meilleurs conseils pour explorer son pays. En quelques heures, nous équipons la voiture pour être complètement autonomes : une plateforme en bois soutient un grand matelas gonflable et en dessous nous rangeons le nécessaire de camping et de cuisine.

Départ pour l’île du sud 

Le lendemain matin, nous partons aux aurores pour se rendre en ferry sur l’île du sud. Nous embarquons donc la voiture à bord et naviguons de Wellington à Picton. La traversée dure 3 heures et elle est magnifique : on passe au milieu de fjords ensoleillés et on voit nos premières otaries qui jouent dans l’eau. Le temps à bord passe vite car le bateau est très bien équipé et il y a même un cinéma pour divertir les passagers.

Astuce : Pour relier les deux îles, il existe deux compagnies de ferry qui effectuent le trajet plusieurs fois par jours : Interislander et Bluebridge. Les bateaux affichent souvent complets, il faut donc réserver à l’avance. Comme souvent, plus on réserve tôt, plus les tarifs sont bas.

Côte Est de l’île du sud

Nous arrivons à Picton à la mi-journée. Même si le village est ravissant, nous ne nous attardons pas car une longue route nous attend. Notre objectif est de rejoindre Chirstchurch (350 km plus au sud) avant la nuit. Nous commençons donc notre road-trip en traversant les vignobles du Marlborough puis nous longeons la belle côte sauvage. Première surprise, nous découvrons des marais salants aux couleurs étonnantes : les bassins sont bleus, blancs et même roses ! La suite de la côte est tout aussi riche en couleurs et le bleu de l’océan est vraiment éclatant. Entre la végétation et les paysages de montagnes qui se jettent dans la mer, la ressemblance avec l’Afrique du Sud est frappante.

Deuxième surprise, de nombreuses colonies d’otaries à fourrure ont colonisé les plages de rochers pour le plus grand bonheur des touristes. Nous passons de longs moments à les observer ; en plus c’est l’été et à ce moment de l’année de nombreuses jeunes otaries sont présentes et se donnent en spectacle. Elles sont tellement maladroites sur les rochers !

En fin de journée, nous arrivons à Christchurch, la plus grande ville de l’île du sud, qui fut gravement touchée par 2 grands séismes en 2011. 5 ans plus tard, la ville est encore en pleine reconstruction et on estime qu’il faudra encore une quinzaine d’années avant que tous les dégâts ne soient effacés. Le constat fait froid dans le dos : tous les bâtiments anciens ont été détruits (au moins en partie) ainsi que tous les grands immeubles. Des grues sont en place pour faire des travaux à tous les coins de rue. On est vendredi soir, en plein centre-ville et pourtant les rues sont quasi désertes. Seul témoin historique qui subsiste encore, le tramway a été reconverti en restaurant roulant.

Nous ne nous attardons pas plus dans cette ville meurtrie et préférons quitter la côte pour rouler en direction de la campagne et passer notre première nuit dans le van. Notre « maison » n’est pas très grande mais c’est très confortable !

Mount Cook et environs

Mount Cook est le plus haut sommet de la Nouvelle-Zélande. Il est entouré de magnifiques vallées, lacs et sommets qui forment le parc national de Mount Cook. Sur les conseils de Megan, nous optons pour une merveilleuse randonnée, connue pour ses panoramas et son fort dénivelé : Mueller Hut. Après plus de 1900 marches à gravir à flanc de montagne, nous arrivons à deux jolis petits lacs d’où nous pouvons déjà apprécier la vue sur les alentours. Ensuite, un gigantesque pierrier nous conduit jusqu’au sommet, où nous sommes entourés de glaciers. C’est à couper le souffle !

Astuce : A partir du village d’Aoraki, il y a de très nombreux départs de randonnées (d’une durée de quelques heures jusqu’à des expéditions de plusieurs jours). Un camping public (et payant) accueille les randonneurs dans la vallée mais il est aussi possible de loger (ou de camper) dans le gîte en montagne. De nombreux renseignements sont disponibles à l’office du tourisme du village d’Aoraki ou sur Internet.

Pour notre part, nous passons la nuit dans un camping gratuit près du lac Pukaki. Le lendemain matin, nous petit-déjeunons devant ce lac et la vue, sans aucun nuage, est juste magique.

Astuce : Pour tout road-trip en Nouvelle-Zélande, l’application « Camper Mate » est indispensable. Elle permet de repérer les différents campings (gratuits, bon marchés ou très bien équipés). Illustrée de photos et de commentaires, elle fonctionne même sans connexion Internet.

Suite de la côte Est

Nous poursuivons la journée de route en direction du sud et de la ville de Dunedin. Avant de regagner la côte Est, nous faisons halte au très beau lac de Benmore. Beaucoup de locaux s’y baignent, font des tours de ski nautique ou de bouée tractée. Même si l’eau ne dépasse pas les 18°C, la pureté de l’eau nous invite à se tremper. De quoi redoubler d’énergie en sortant!

De retour sur la route côtière, nous y découvrons une curiosité naturelle : sur la plage de Moeraki se trouvent d’étranges rochers parfaitement ronds d’environ 1 mètre de diamètre. De nombreuses explications circulent quant à leur origine, dont certaines sont particulièrement farfelues.

Dunedin

Nous arrivons enfin à Dunedin, au sud de l’île du sud. Cette ville est bien familière à Alix puisqu’elle y a séjourné il y a 13 ans à l’occasion de son échange scolaire avec Megan et sa famille. En une décennie, la ville n’a pas trop changé, de même que les parents de Megan (Shona et Philip) qui sont toujours aussi accueillants et souriants. Philip s’adapte même à notre emploi du temps serré et passe la matinée avec nous pour nous faire (re)découvrir les meilleurs endroits de Dunedin : les vieux bâtiments de la ville tels que ses prestigieux lycées et sa faculté, la gare, puis le centre-ville commerçant. Nous faisons même l’ascension de Baldwin Street, la rue la plus pentue du monde !

Nous nous rendons ensuite sur la belle plage de Saint Clair, bordée de restaurants et connue pour sa piscine d’eau salée et chauffée, face à l’océan. Nous terminons ensuite la matinée sur les falaises de Tunnel Beach. On se croirait dans une carte postale. Encore une fois l’océan est d’une pureté et d’un bleu éclatant.

L’après-midi, nous nous rendons sur la péninsule d’Otago, non loin de Dunedin. Ce petit bras de terre habité de quelques maisons et surtout peuplé de moutons offre des routes étroites et sinueuses entrecoupées de panoramas magnifiques. A Sandfly bay, nous dévalons de grandes dunes pour se rapprocher de l’eau et observer une colonie de lions de mer paisiblement installée sur la plage.

Queenstown

Le lendemain, il est déjà temps pour nous de repartir vers les montagnes. Nous sommes chanceux car les parents de Megan ont une maison familiale dans la petite ville touristique de Wanaka et nous invitent à y dormir. Sur la route, nous nous arrêtons à Queenstown. Flanquée entre les montagnes et un immense lac (le deuxième le plus pur du monde !), c’est la ville la plus touristique de l’île du sud. Toutes les activités dont on peut rêver y sont disponibles (activités nautiques, survol en avion des montagnes, saut en parachute ou à l’élastique, etc.) mais les prix y sont délirants. On se « contente » donc de faire la petite ascension de Queenstown hill qui donne un panorama à plus de 180° sur les alentours.

Wanaka

Nous découvrons ensuite la ville voisine de Wanaka. Comme Queenstown, elle est située en bordure de lac et est entourée de montagnes. Pourtant, l’atmosphère y est beaucoup plus détendue et authentique. Nous sommes donc bien contents de loger à Wanaka plutôt qu’à Queentown et d’y passer quelques jours. De plus, la maison familiale de Philip et Shona est ravissante, pas loin du centre-ville et face au lac. Une aubaine!

Le lendemain, le temps est clément et nous décidons de partir en randonnée au glacier du Rob Roy. La route, longue et en gravier, n’en est pas moins magnifique : à part les quelques fermes de moutons alentours, il n’y a que les montagnes qui se dressent tout autour de nous. C’est l’été et la fonte des neiges alimente de très hautes cascades et des petites rivières entrecoupent la route.

La randonnée était prometteuse : montagnes et torrents bleutés dignes du du film le Seigneur des Anneaux, traversée de pont suspendu et immenses fougères. Malheureusement la pluie nous ramène rapidement à la voiture et, avec quelques autres véhicules rebroussant chemin, nous sommes surpris par la profondeur des cours d’eau qui coupent désormais la piste. L’averse se transforme en déluge, mais frigorifiés, il faut que nous traversions coûte que coûte ces torrents peu profonds pour ne pas rester coincés la nuit (voire plusieurs jours) dans cette vallée. Nous y parvenons, mais le van en prend un coup et un bruit anormal dans le moteur se fait entendre. Nous rentrons donc très lentement à Wanaka pour déposer immédiatement la voiture chez le garagiste.

Week-end triathlon à Wanaka

Malheureusement, tous les garagistes du coin sont submergés de travail en raison d’un événement particulier : Wanaka accueille ce weekend un triathlon Challenge. Des dizaines de milliers de spectateurs, participants et organisateurs sont attendus. Nous sommes donc contraints de patienter durant ces festivités. Des amis de Shona et Philip débarquent d’ailleurs dans la petite maison familiale. Après un dîner partagé avec eux, ils nous invitent rapidement à faire partie de l’équipe des volontaires de l’organisation pour le triathlon. Nous ne le savons pas encore mais nos mésaventures avec le van vont nous conduire à partager la maison avec ces charmants kiwis et passer un excellent weekend !

Le jour du triathlon s’annonce et nous sommes postés à un stand de ravitaillement au milieu du parcours de vélo : « Bar ! Water ! Banana ! » ; nous courons avec les participants pour leur tendre ce qu’ils désirent et les encourageons pour les motiver. On se prend vite au jeu ! Il faut dire qu’une sacrée dose de courage et de motivation sont nécessaires pour venir à bout de ce triathlon : 3,8 km de nage, 180 km de vélo et 42 km de course à pied… C’est sur-humain !

Une fois notre participation terminée, nous nous rendons à l’arrivée où on applaudit les vainqueurs (qui finissent le parcours en 8 heures et demi). Le plus vieux participant est un grand-père de 80 ans qui termine avec succès la course ! Tous les volontaires sont ensuite remerciés lors d’une grande soirée avec tombola. Nous sommes les heureux gagnants de quelques lots, dont du bon vin néo-zélandais. Nous passons également de bons moments avec d’autres français, eux aussi volontaires, venus en Nouvelle-Zélande pour les vacances.

Le lendemain, nous sommes même rejoints par Philip et Shona qui sont en vacances et passent à Wanaka. Nous passons de bons moments avec eux, entre baignade dans le lac et spécialités culinaires.

Retour vers l’île du nord

Après ces quelques jours de festivités, il est temps pour nous de repartir car notre date de départ pour la France approche. Malheureusement, le van n’étant pas encore réparé, nous le confions à Philip et Shona et nous décidons de remonter en stop jusqu’à Picton (800 km plus au nord). Ce mode de déplacement est très répandu dans le pays et nous le constatons vite car au bout de 15 minutes d’attente, le pouce tendu, une voiture s’arrête et nous propose de nous conduire… jusqu’au ferry! Notre bienfaiteur s’appelle Archie, un anglais de 25 ans venu travailler en Nouvelle Zélande. En échange d’un plein d’essence, nous voilà donc tous les trois partis sur la route de la côte Est (toujours aussi belle). Archy découvre pour la première fois cette partie du pays : nous lui montrons les colonies d’otaries, les marais salants et nous observons même des dauphins depuis la côte. Nous passons la nuit dans un camping au bord de la mer et le lendemain matin, arrivés au ferry, nous le remercions avant de monter dans nos bateaux respectifs. Ce fut un covoiturage très sympathique !

Arrivée à Palmerston North

Après la traversée en ferry, nous débarquons à Wellington en fin d’après midi et il n’y a plus de bus ni de trains. C’est donc en stop que nous décidons de parcourir les 140 km avant de retrouver Megan à Palmerston North. Sans trop de certitude, vue l’heure avancée, nous commençons à marcher tout en levant le pouce. Pourtant, ce n’est pas moins de 4 voitures qui s’arrêteront successivement pour nous prendre (et parfois faire un long détour pour nous aider). Nous arrivons donc le soir même, fatigués mais heureux d’avoir parcouru au total près de 1000 km en stop en 36 heures !

Derniers jours du tour du monde

Megan nous accueille chez elle et nous fait découvrir la vie à la néo-zélandaise : avec son copain Ben et sa fille Eliza, nous enchaînons barbecue, sortie en ville et découverte de sports méconnus en France : le cricket et le croquet. Le premier ressemble au baseball et le second s’apparente à une sorte de mini-golf. Les néo-zélandais en sont très friands.

Ben est instituteur et nous invite même à rencontrer sa classe de primaire pour qu’on raconte aux élèves nos aventures à travers le monde. L’échange se révèle encore plus intéressant que prévu. En effet, c’est une école aux méthodes d’apprentissage novatrices où les élèves gèrent leur propre emploi du temps en fonction des objectifs que leur fixe individuellement les professeurs. Le travail en groupe est notamment très encouragé ; nous sommes ainsi surpris par le nombre d’élèves qui osent prendre la parole et nous posent des questions pertinentes. Nous les observons ensuite reprendre leurs tâches : ils sont libres de circuler dans la classe, s’installer dans les différents poufs et canapés de la salle, discuter entre eux et même utiliser les ordinateurs portables mis à leur disposition.

Astuce : Si vous souhaitez en savoir plus sur cette école originale, rendez-vous sur le blog de la classe

Retour au bercail

Après quelques jours passés avec Megan, Ben et Eliza, nous prenons le bus pour rejoindre l’aéroport de Wellington. C’est la fin de la Nouvelle-Zélande et la fin de notre voyage… Que de souvenirs en 1 an ! Que d’expériences !

Astuce : Il est indispensable de réserver vos billets de bus à l’avance. Pour éviter des frais bancaires à cause d’une réservation en ligne, mieux vaut passer par un office du tourisme qui vous fera la réservation moyennant une petite commission.

« Kia ora koutou katoa »!

Se traduit par « Merci à tous » en maori.

C’est avec d’excellents souvenirs que nous quittons ce charmant petit pays où il fait bon vivre : la Nouvelle Zélande. A cause de (ou grâce à) la panne du van, nous sommes restés plus de temps que prévu dans l’île du sud. Il faudra pour sûr, revenir en Nouvelle Zélande pour visiter un peu plus l’île du nord.

Ce qu’elle a aimé : Le bleu profond du ciel comme nous ne l’avions jamais vu ailleurs, retrouver une amie d’enfance et sa famille si adorable, apprendre qu’une mésaventure peut conduire à de belles rencontres.

Ce qu’il a aimé : Se sentir libre au volant du van prêté par Megan et aménagé en camping-car, observer les colonies d’otaries se dorer au soleil ou s’amuser dans l’eau, les nombreuses randonnées dans des décors surréalistes du Seigneur des Anneaux.

Eviter les mauvaises surprises : Dans certaines parties du pays, le temps peut changer très vite et des trombes d’eau peuvent faire déborder les cours d’eau rapidement. Nous en avons malheureusement fait les frais lors de notre séjour. Pour éviter cela, nous vous conseillons de vous renseigner sur la météo de la région avant de partir en activité.

Insolite : La Nouvelle-Zélande est le premier pays à avoir accordé définitivement le droit de vote aux femmes en adoptant le suffrage universel en 1893.

Un plat qui vaut le détour : Même si le nombre de moutons en Nouvelle- Zélande ne cesse de décroître, le « roasted lamb » reste un plat incontournable du pays. C’est une pièce d’agneau rôti cuite au four avec de l’ail et du romarin que l’on accompagne de petits légumes. Pour finir ce bon repas, rien de mieux qu’une Pavlova : LE gâteau de Nouvelle-Zélande. C’est une grande meringue moelleuse couverte de crème et de fruits coupés.

Une musique du pays : Pokarekare Ana est une chanson d’amour connue de tous les kiwis dont les paroles sont en Maori. Elle fut chantée par les recrues maories enrôlées lors de la première guerre mondiale et c’est depuis l’hymne non-officiel du pays.

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Nouvelle Zélande

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Nouvelle Zélande -41.286460, 174.776236

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De manière générale :

  • Attention aux kéas sur les parkings, notamment aux départs de randonnée. Ces gros oiseaux endémiques de la Nouvelle-Zélande se font un malin plaisir de décortiquer tout ce qui est à portée de leur bec (essuie-glaces, caoutchoucs, pneus, etc.) et n’hésitent pas à entrer dans les voitures pour y voler de la nourriture.
  • Les transports publics en Nouvelle Zélande sont assez bien organisés et sont fiables.
  • Il y a des aéroports un peu partout, desservis par Air New Zealand et Jetstar (moins cher).
  • Les logements sont chers en Nouvelle-Zélande. Un lit dans un dortoir coûte au minimum 25 NZD (soit environ 15€).
  • Une carte SIM avec 200 minutes de communication (vers l’international) et 3Go de données coûte environ 30€.
  • Le repas le moins cher reste probablement une pizza à 5 NZD dans les Pizza Hut ou les Dominos.
  • Les bus longue distance sont opérés par Intercity et Naked bus (moins cher). Il existe également des compagnies de car de tourisme qui offrent des billets multi-destinations à utiliser librement.
  • Les sentiers de randonnées sont très nombreux et bien balisés. Beaucoup d’informations sur les randonnées se trouvent sur Internet ou directement aux offices du tourisme.
  • Attention au soleil qui tape fort car un trou dans la couche d’ozone se trouve au dessus de la Nouvelle-Zélande.

Des questions ? N’hésitez pas à nous contacter via notre formulaire de contact.

Un IMMENSE merci à : Megan et Ben pour leur accueil chaleureux et leur aide pour préparer ce voyage en Nouvelle-Zélande, Shona et Phil pour leur connaissance de l’île du sud et leurs conseils avisés, Jenny, Paul et tous les volontaires du triathlon pour leur bonne humeur, Archie et toutes les autres personnes qui nous ont prises en stop.

Enfin, un grand merci aux lecteurs qui nous ont suivis lors de cette année d’aventure!